"La peur est une mauvaise conseillère, mais un excellent signal d’alarme."
La phobie de la conduite, ou amaxophobie, touche environ 8 millions de français, de façon sérieuse. Certains évitent totalement de prendre le volant, d’autres ressentent une angoisse paralysante sur l’autoroute, en ville ou même dans des situations quotidiennes banales. Cette peur, souvent vécue comme honteuse, peut pourtant être comprise et surmontée.
Quand le volant devient un mur invisible.
La phobie de la conduite ne se résume pas à un simple stress. Elle entraîne des symptômes physiques très concrets : palpitations, sueurs, vertiges, impression de perte de contrôle... Conduire devient alors une épreuve, parfois impossible à surmonter sans aide. Pourtant, derrière cette peur, il y a souvent une histoire : un traumatisme, tel qu’un accident, un souvenir marquant, ou encore une anxiété généralisée qui se cristallise autour de la conduite.
Des exemples très parlants
Sophie la cinquantaine, réduit ses sorties comme peau de chagrin et perd peu à peu son réseau amical et social.
Pierre est tellement stressé à l’idée de conduire qu’il construit toute sa vie autour de cet évitement. Mais quand on est chargé de famille avec 2 enfants en primaire, c’est ingérable !
Ces récits montrent à quel point cette phobie peut envahir le quotidien. Heureusement, elle n’est pas une fatalité.
La thérapie Mosaic et la Logothérapie : une alliance efficace
La thérapie Mosaic, issue des neurosciences, agit directement sur la mémoire émotionnelle. Elle permet de “désactiver” les ancrages traumatiques liés à la conduite et d’apporter une réponse apaisée là où auparavant il y avait de la panique.
En complément, la Logothérapie aide à redonner du sens et à replacer la conduite dans une perspective plus large : liberté de mouvement, autonomie, projets personnels. C’est cette double approche qui permet d’obtenir des résultats rapides et durables.
Le plus souvent, quelques séances suffisent pour transformer l’expérience de conduite. Les personnes retrouvent une sérénité oubliée et un rapport au volant redevenu naturel. Là où il y avait peur et évitement, il y a de nouveau liberté et confiance.
Retrouver la route de sa liberté
Se libérer de la phobie de la conduite, ce n’est pas seulement apprendre à rouler sans stress : c’est aussi retrouver un espace d’autonomie et de confiance en soi. Les témoignages de Sophie et Pierre sont là pour vous encourager: l’angoisse n’a plus lieu de bloquer leur quotidien.
Alors, si vous reconnaissez vos propres difficultés dans ces lignes, sachez que des solutions existent. La route n’attend que vous !
"La peur est un frein, mais heureusement,
les freins s’utilise seulement pour s’arrêter au bon moment."
- Selon une étude de l’Université Gustave Eiffel pour la Sécurité Routière (2021)